Destiné (mais non réservé) aux agrégatifs, ce cours propose un commentaire suivi de la Poétique d’Aristote à partir du texte grec. Cela signifie que : En affirmant que l'homme est un animal politique, Aristote donne un fondement naturel à la formation des cités. ", il donne une définition, ou ce qu'il appelle par ailleurs sa cause formelle. La politique est l'instrument de la morale. En effet, Aristote affirmait qu'un groupe restreint pouvait s'accaparer la citoyenneté, et ainsi exclure de la vie politique la majorité certes, mais peu nombreuse. ... "L'homme est par nature un animal politique". La sociabilité n'est pas accidentelle mais essentielle à l'homme (...) [...] La formation d'une communauté (de la plus simple comme la famille, à la plus complexe comme la cité) est l'effet d'une morale. I, 2. Il définit ce dernier comme celui qui participe, qui agit. Sa description : Commentaire entièrement rédigé en deux parties suivantes la progression du texte : I. Cours d’agrégation - S1. Cependant, si chaque homme trouve naturellement sa fonction sociale, la place de chacun dans la société se trouve légitimée. A la question "qu'est-ce que l'homme ? Mais si l'on s'en tient à la définition aristotélicienne de la citoyenneté, une majorité des votants n'est pas citoyens. Son œuvre influença toute la philosophie occidentale. Il définit ce dernier comme celui qui participe, qui agit. Car de Platon et Aristote à Marx en passant par Hobbes et Rousseau, la définition du citoyen a beaucoup évolué.
[...] [...] Mais si l'homme ne peut pas exister en dehors de la cité, sous peine de perdre son humanité, qu'est-ce qui peut garantir par ailleurs qu'en se regroupant avec sas congénères, il ne vive pas non plus comme un animal grégaire ? Il a donc refusé volontairement la citoyenneté. Commande ton devoir, sur mesure ! ARISTOTE. [...] [...] Or ce ne sont pas que les membres des fonctions publiques et judiciaires qui votent, mais l'ensemble de la population inscrite sur les listes électorales. [...] [...] Enfin les enjeux sont métaphysiques puisqu'il s'agit d'établir les caractéristiques du langage humain à travers celle d'une nature finalisée. Commentaire corrigé du texte : Aristote, Les Politiques - I, 2 : L'homme, animal politique, proposé par thibaultl (élève).
Néanmoins, cet acte est reconnu comme un acte citoyen : la définition d'Aristote ne s'applique donc plus, tout du moins sur la forme. Tu ne trouves pas ce que tu cherches ? Le terme « métaphysique » n’est d’ailleurs jamais utilisé par Aristote, qui parle de « philosophie première ». Un artisan peut donc voter et ainsi jouer son rôle dans le choix des représentants. Cette caractéristique qu'il a "par nature" n'est pas contingente. La Poétique d’Aristote- Dimitri EL MURR. ... nous informe sur le point de vue d'Aristote à propos de la cité, ou polis, et de la place de l'individu au sein de cette dernière. D'APRÈS LE TEXTE COLLATIONNÉ SUR LES MANUSCRITS ET LES ÉDITIONS PRINCIPALES . En effet, Aristote pense que « l'homme est un animal politique » : il est donc intéressant d'étudier la place de l'homme dans la cité. Finalement, la vie politique est ce qui rend possible la réalisation de l'essence morale de l'homme. J. BARTHÉLÉMY-SAINT-HILAIRE . L'ouvrage du philosophe grec ARISTOTE (384-322 av JC), fondateur du Lycée et élève continuateur et critique de PLATON, fait partie d'une vaste encyclopédie qui couvre de nombreux domaines, des arts à la politique, qui longtemps après l'Antiquité inspire la philosophie et la philosophie politique occidenfale.
Il est donc citoyen par sa participation. La vie en communauté est inhérente à la nature humaine II. Ne peut-on pas envisager l'indépendance de la politique et de la morale ? Aristote, La politique, I INTRODUCTION Comprendre l'homme, c'est le comprendre dans son rapport aux autres. Cependant, cette définition peut être vue comme restrictive. (Traduction Jules Tricot). Passer de centaines de milliers à plusieurs dizaines voire centaines de millions n'est pas chose aisée.
Classification des doctrine Il faut nécessairement qu’il y ait soit un seul soit plusieurs principes, et; s’il y en a un, qu’il