Premier ouvrage de David Hume, consacré au raisonnement et à la connaissance, aux sentiments, aux émotions et aux fondements de la morale, il restera d'abord négligé ava… Hume, Traité de la nature humaine, Livre II : DES PASSIONS. Pour l'Homme, en effet être conscient se n'est pas seulement percevoir mais réfléchir encore cette perception. Le Traité ambitionne de penser à nouveaux frais trois domaines de la pensée : lentendement et les limites de ses connaissances (épistémologie), la nature des passions, des émotions et de la liberté (subjectivité), une nouvelle théorie de la morale (éthique) Mais la révolution morale de H… Il est bien vrai qu'en un premier sens, être conscient, c'est percevoir. Comment dire avec suffisamment de précision celui qu'on a été, celui qu'on est aujourd'hui et le passage de l'un à l'autre ? [...] Hume, Traité de la nature humaine, Livre Partie IV, Section VI : perception et identité Commentaire semi-rédigé sur un extrait de Traité de la nature humaine (Livre Partie IV, Section VI) de Hume, sur la difficile question de la connaissance de soi.
Texte analysé : David Hume, Traité de la nature humaine, livre I, 4ème partie, section VI. [...] Pimido, c'est 20 ans d'expérience dans la rédaction, l'optimisation, l'achat et la vente en ligne de documents.
Hume, "Traité de la nature humaine", Livre I, partie IV, section VI : perception et identité Des motifs qui
Ce ne sont que les perceptions successives qui constituent l'esprit, et nous n'avons pas la plus lointaine idée du lieu où ces scènes sont représentées, ni des matériaux dont ils sont composés.
Suite du même sujet Section III. Hume, Traité de la nature humaine, Livre II, partie II, section V, GF, p. 211.
On remarque ainsi que les termes en relation avec le moi son en italique ce qui montre leur importance et que le moi est bien au cœur du sujet; moi l.2, l6, l.9, l.12 ou lui-même l.18. RQ Ce texte est très déroutant pour les élèves à qui on demande de trouver la structure . Il n'y a pas en l'esprit à proprement parler de simplicité à un moment donné, ni d'identité à différents moments, quelque tendance naturelle que nous puissions avoir à imaginer cette simplicité et cette identité. A cette question, David Hume répond de manière très claire dans cet extrait : l'identité n'est pas cette chose simple et uniforme que l'on pourrait saisir par delà les variations incessantes de la perception : l'identité du sujet n'est pas constituée d'autres choses que le flux multiforme de tout ce qu'il perçoit.
[...] [...] Ainsi il y a illusion à se représenter le Je comme cette spiritualité inconditionnée qui perdurerait toujours identique à lui-même par delà les modifications de ce qui l'entoure (le monde, son corps Au contraire, ce Je insaisissable n'est finalement que la variation incessante de son rapport au monde. Texte étudié Pour ma part, quand j'entre le plus intimement dans ce que j'appelle moi- même, je bute toujours sur quelque perception particulière ou sur une autre, de chaud ou froid, de lumière ou d'ombre, d'amour ou de haine, de douleur ou de plaisir.
Qu’est-ce que le moi ? Il y a certains philosophes qui imaginent que nous avons à tout moment la conscience intime de ce que nous appelons notre moi ; que nous sentons son existence et sa continuité d'existence ; et que nous sommes certains, plus que par l'évidence d'une démonstration, de son identité et de sa simplicité parfaites. De la liberté et de la nécessité Section II . Dans cette oeuvre, Hume défend une conception empirique de la connaissance.
Cet extrait de David Hume, issu du Traité de la nature humaine, évoque le problème de la connaissance de l’homme ; il en vient au problème de l’identité personnelle, mettant complètement en question l’unité du moi.
Comment dire avec suffisamment de précision celui qu'on a été, celui Cette capacité réflexive semble bien laisser place à l'existence d'un Je que l'on pourrait saisir pour ainsi dire en amont de la diversité de nos impressions sensibles et qui serait la condition pour qu'elles s'organisent les unes par rapport aux autres. En tant qu'Homme, je perçois et je perçois que je perçois. [...] [...] (Hume, Traité de la nature humaine, Livre Partie IV, Section VI) Commentaire Quiconque s'est livré à une tentative d'autobiographie a sans doute fait l'expérience de la difficulté qu'il y a à cerner sa propre identité.
Mais, si le sujet n'est jamais que le sujet de perception, comment définir l'identité du sujet ? En poursuivant votre navigation sur Pimido.com ou en cliquant sur OK, vous en acceptez l'utilisation. Tu ne trouves pas ce que tu cherches ?
Commentaire semi-rédigé d'un extrait du Traité de la nature humaine (Livre I, partie IV, section VI) de Hume, sur la difficile question de la connaissance de soi.