Qu’est-ce qui aimante aux sommets ces « guerriers des glaces » ?Le sauvetage spectaculaire d’Élisabeth Revol au Nanga Parbat, 8 125 Nouveautés 2020 ⁠18. Des 14 montagnes de 8 000 mètres de la planète, il est le seul qui n’a jamais été grimpé jusqu’au sommet en hiver.Sommaire du magazine National Geographic de juillet 2020 : Everest, aventure sur le toit du monde Sommaire du magazine National Geographic de mai 2020 : Insectes, ils nous manqueront s'ils s'en vont !Sommaire du magazine National Geographic de mars 2020 : vers un monde sans déchets Deux expéditions : une espagnole, une russe. stubai cup 2020 ⁠21. C'est la quête de l'ultime, dans des conditions extrêmes pour le corps et l'esprit. Il compte Nos contributeurs se relaient pour vous proposer ce suivi en direct. Il a en grande partie financé cette expédition, qui était très lourde. Impossible de partager les articles de votre blog par e-mail. La vérification e-mail a échoué, veuillez réessayer Première femme à réussir l’ascension hivernale du Nanga Parbat.On les a surnommés les « guerriers des glaces ».

par Expéditions Live 26 décembre 2019 26 décembre 2019 Alors que l’expédition au K2 se précise, le trio du Broadpeak arrive au camp de base. Des tonnes de matériel, beaucoup plus encombrant qu’aujourd’hui, ont été expédiées à Katmandou : de grosses tentes, une antenne géante pour que les alpinistes communiquent avec leurs proches. Hivernale au K2 2019.

À la fin des années 1970, des alpinistes polonais se lancent dans un pari fou : gravir l’Everest en hiver. ... Il devrait tenter de réaliser l’ascension hivernale du Broadpeak. Voici à quoi ressemble le camp de base de l’Everest vu du ciel !Octobre 1989, la légende Jerzy Kukuczka chute fatalement Et inaugurent du même coup une nouvelle discipline : l’himalayisme hivernal, l’ascension des sommets de plus de 8 000 m à la saison froide. Denis Urubko n'en démord pas : pour lui, l'hiver en Himalaya se termine le 28 février et l'ascension réussie par Adam Bielecki, Artur Małek, Maciej Berbeka et Tomasz Kowalski le 5 mars 2013 ne doit pas être considérée comme la première hivernale du Broad Peak. On les a surnommés les « guerriers des glaces ». Selon Denis Urubko, celle-ci reste donc à faire. « On devait entrouvrir les tentes, sinon elles gelaient de l’intérieur au petit matin, à cause de la respiration et de la vapeur produite lorsqu’on cuisinait », racontera plus tard l’un d’eux.Au terme de plusieurs semaines dantesques, ils conquièrent le toit du monde le 17 février 1980. Ad Nova Aonic ⁠26. L'article n'a pas été envoyé - Vérifiez vos adresses e-mail ! Il pourrait donc bien s'agir de l'exploit de l'année en Himalaya. La première hivernale de ce sommet, réalisée début mars, n’est pas valable. Simone Moro connaît bien la région : il a réalisé la première hivernale du Gasherbrum II en 2011. Seuls une poignée d'alpinistes sont assez fous pour se hisser à plus de 8 000 mètres en Himalaya, quand il fait jusqu’à – 50 °C et que le vent souffle à 150 km/h. Ad FFVL ⁠19. Un seul objectif : la première hivernale au K2. Si vous voulez ajouter le suivi d'une expédition ou que vous souhaitez contribuer, n'hésitez pas à nous écrire à Hivernale à l’Everest : vent à 130km/h, -50°C ressentis à 8.000 mètres ! À cette époque, l’écosystème politique était favorable à ce type d’ascensions. Il est capable de faire 300 m de dénivelé par heure entre 7 500 et 8 000 m (alors que la moyenne est de 100 à 150 m...).Après avoir survécu à une avalanche, le grimpeur et photographe Cory Richards a capturé le moment.À l’intérieur d’une tente dans le Camp 3, Bielecki se prépare à une autre journée d’ascension sur le K2.Adam Bielecki en train de contrôler son équipement avant de monter rejoindre son équipe dans le Camp 2 sur le K2.Les conditions météorologiques sont si rudes que la montagne est plus dure à escalader que l’Everest, même si elle n’est que la deuxième plus haute du monde.

Ses adeptes forment un club très restreint - seules 86 personnes ont foulé la cime d’un 8 000 en hiver - qui traîne toute une cohorte de spectres, alpinistes malheureux broyés par ces conditions extrêmes.En janvier 2018, le polonais Tomasz Mackiewicz est venu grossir leurs rangs, succombant alors qu’il redescendait le Nanga Parbat, sans doute victime d’un œdème. Selon lui, l’hiver dans la région se termine fin février.