Comme le présente ces caricatures si dessous.Paragraphe. 14/1/2016 | Goeric Roux Des études menées dans de nombreux pays et dans différents médias indiquent que le sport médiatisé est un sport d'hommes. El artículo concluye con una consideración en la cual el deporte puede contribuir a la producción de igualdades sociales.Veuillez télécharger l’article en PDF pour le lire. Les Françaises sont de plus en plus nombreuses à pratiquer une activité sportive, mais l'écart demeure avec les hommes, notamment chez les plus jeunes, selon une étude de l' Insee diffusée jeudi 23 novembre. In social terms, however, sport has been considered as the great leveller. Il s'agit d'un problème d'éducation plus général: les hommes sembleraient avoir encore du mal à regarder et accepter les femmes pour ce qu'elles sont capables de faire" Il est intéressant de noter d'ailleurs que seuls 5% de l'information sportive en moyenne est assurée par des journalistes de sexe féminin. La mise à niveau des réglementations dans chaque discipline nâeffacera sans doute jamais ce ressenti sur lequel les féministes les plus virulentes nâhésitent pas à appuyer à la moindre occasion. ! Le sport offre donc, comme souvent, une lecture sociologique et politique privilégiée des inégalités. À l’époque où nous vivons, alors que les paramètres d’accessibilité sont quasiment les mêmes, pourquoi sont-ils alors stigmatisés et taxés de sexistes dans leurs disciplines ? a) Des inégalités de revenus qui renforcent la nécessité, pour les sportives, du « double-projet »
L’égalité entre les hommes et les femmes dans le sport doit donc se construire.
Du point de vue social, par contre, le sport a été considéré comme un grand niveleur. Par sa nature même, le sport produit et révèle des inégalités du point de vue des caractéristiques corporelles et des performances sportives. La performance sportive est certes importante dans les deux cas mais on ne pardonne pas le manque de "performance esthétique" à une femme".
À l’époque où nous vivons, alors que les paramètres d’accessibilité sont quasiment les mêmes, pourquoi sont-ils alors stigmatisés et taxés de sexistes dans leurs disciplines ? En effet, chaque rentrée sportive suivant la tenue d'une Olympiade le confirme : l'impact des images et de la couverture médiatique d'une discipline influent fortement sur le nombre de pratiquants. Le sport est historiquement et culturellement de genre masculin. On constate bien un pic de médiatisation lors de grands évènements sportifs internationaux, mais les sportives retombent vite ensuite dans l'oubli. Si le principe de l’égalité entre les hommes et les femmes est collectivement bien accepté, dans les faits son application rencontre bien des résistances. De plus les champions ne sont ni choisis ni représentés par les médias selon les mêmes critères, selon qu'ils soient de sexe masculin ou féminin. La performance sportive est certes importante dans les deux cas mais on ne pardonne pas le manque de "performance esthétique" à …
Pourtant, leurs exploits ne sont que trop faiblement repris par les médias. On constate bien un pic de médiatisation lors de grands évènements sportifs internationaux, mais les sportives retombent vite ensuite dans l'oubli. La performance sportive est certes importante dans les deux cas mais on ne pardonne pas le manque de "performance esthétique" à une femme".
En raison de cette médiocre visibilité médiatique, les sportives ont du mal à trouver des sponsors dans de nombreux sports. S’il y a un domaine où le sexisme persiste, c’est bien celui du sport. Toutefois, la sexualisation croissante des sportives peut stimuler l'intérêt des médias et des sponsors.En France, elles représentent 36% des sportifs inscrits sur les listes de haut niveau. Cliquez ici pour ajouter votre propre texte. Bibliographie Les Articles Donc Qu'est-ce que Nous Les inégalités entre les hommes et les femmes persistent dans le domaine du sport, selon l'Insee.
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En effet, si tirer parti de leur beauté permet aux athlètes féminines de gagner plus d'argent et de s'attirer le soutien de davantage de sponsors; Rosarita Cuccoli fait toutefois valoir que "la sexualisation accrue des athlètes féminines diminue la valeur de leurs réalisations et renforce l'image des femmes en tant qu'objets sexuels, ce qui est nuisible pour toutes les femmes". Si dans la couverture du sport masculin, c'est surtout le résultat sportif qui compte, dans le cas des championnes la beauté semble être un impératif incontournable.