Rousseau, et on eût dit qu'il avait hérité quelque chose de cette liaison d'une ancêtre. Dans son testament, ouvert à son décès, madame de Courcils dénonce l'absence de considération de son mari et de ses deux fils aînés et révèle la paternité de René ; estimant ne rien devoir à ceux qui ne l'ont jamais aimée, elle lègue son patrimoine à M. de Bourneval, son amant. Et, devant le Juge suprême qui m'entend, je déclare que j'aurais maudit le ciel et l'existence si je n'avais rencontré l'affection profonde, dévouée, Il s'attendait sans doute à ce qui allait se passer. Donc, je laisse en dépôt toute la partie de ma fortume dont la loi me permet de disposer, à mon amant bien-aimé Pierre-Germer-Simon de Bourneval, pour Je connaissais ce grand garçon qui s'appelait René de Bourneval.

Il aima ma mère, paraît-il, et en fut aimé. Le Testament est une nouvelle de Guy de Maupassant, parue en 1882. Je crus qu'ils allaient se colleter. Voulez-vous me suivre ? Ce fut une scène grandiose, dramatique, burlesque, surprenante, amenée par la révolte posthume de cette morte, par

D'âme aimante, Je lui ressemble beaucoup. (Cette volonté est formulée en outre, d'une façon plus précise dans un acte notarié). Brusquement mon ami se tut, se leva, puis il alla prendre dans son secrétaire un vieux papier, le déplia, le baisa longuement, et il reprit. Le narrateur dîne avec M. de Bourneval et lui demande s’il est né du premier ou du second mariage de sa mère puisqu’il ne porte pas le même nom que ces deux autres frères. Je vous aurais déjà souffleté et provoqué depuis longtemps si je n'avais tenu avant tout à la tranquillité, durant sa vie, de la pauvre femme noires.

La Bécasse est initialement publiée dans la revue Le Gaulois du 5 décembre 1882 et sert d’introduction au recueil Contes de la bécasse [1].. Résumé. souffre, et si elle en devait souffrir, je ne tiendrais plus alors à vous avoir pour ami". Je suis prêt à le soutenir devant Puis il sourit d'une façon mélancolique et douce qui lui était particulière, et il dit : "Mon cher ami, si cela ne vous ennuie

Elle mourut.
N'est-ce pas votre avis ?". mari. Je le croyais d'un autre lit, vu leurs noms différents. J'avais alors dix-huit ans.

Il se leva, fit quelques pas, et, se plaçant en face de moi : "Eh bien ! Elle était jolie pourtant, fort jolie, toute blonde d'un blond gris, d'un un appel désespéré vers l'indépendance. d'une voix tranchante : "Moi, Simon de Bourneval, je déclare que cet écrit ne renferme que la stricte vérité. n'inporte qui, et à le prouver même par les lettres que j'ai".

"Je, soussignée, Anne-Catherine-Geneviève-Mathilde de Croixluce, épouse légitime de Jean-Léopold-Joseph Gontran de Courcils, saine de corps et Résumé du conte « Le Testament » du recueil « Les contes de la Bécasse » de Maupassant. René part alors vivre avec son père et en adopte le nom et décida de céder la moitié de l'héritage de sa mère à ses demi-frères. La pauvre femme, délaissée et triste, attendaient tranquilles sur leurs sièges. C'était un grand gaillard maigre, avec de grosses moustaches

Il eut en outre pour maîtresses les femmes et les filles de ses fermiers ; ce qui ne l'empêcha

Son arrière-grand mère avait été une amie

Voici le Je lui serrai la main sans répondre. Je ne suis point encore consolé.

Devant Dieu, je ne crains plus.

de J.-J.

Ma mère, Mme de Courlis, était une pauvre petite femme timide, que son mari avait épousée pour sa fortune. d'amour indépendant ; mais, comme elle était si craintive qu'elle n'osait jamais parler haut, tout cela fut refoulé, condensé, pressé en son coeur qui qu'une histoire étrange s'était passée en cette famille, mais sans donner aucun détail.