- Une citation de Bouddha Le film.

C'est un autre qui réagit, se désigne à sa place et se fait fusiller. ­Caroline ­Bongrand se sent "la fille, la petite-fille et l'arrière-­petite-fille de femmes libres". Ainsi, on ne ­saurait résister à cette chaise de bois blanc, miraculeusement ­conservée par sa ­famille. Avec nos pensées, nous bâtissons notre monde. Nous sommes fait: de la nourriture solide, de l'eau que nous buvons, de l'air que nous respirons, de nos pensées et celles des autres et de tout ce qui vient de l' extérieur. Un saut dans le vide.Ayant reçu « carte-blanche » de Gregory pour réaliser ce documentaire, elle a décidé de suivre 4 protagonistes particuliers avant, pendant et après le cursus.Une équipe très réduite au service d’une entreprise colossale :Un regard à la fois vaste et intime sur la quête de soi Engagé dans la ­Résistance dès l'âge de 19 ans, il est arrêté par les ­Allemands et ­torturé. ­Bouleversée, ­Caroline ­Bongrand va le voir ­aussitôt. Tout ce que nous sommes résulte de nos pensées. C’est aussi le terreau de la pensée positive et de la méthode Coué. "Depuis vingt-cinq ans maintenant, je tourne autour de mon sujet sans parvenir à le ­cerner." Artiste connectée, citoyenne du monde, elle n’a eu de cesse de créer des films et des spectacles humanistes et engagés pour aider à l’ouverture des consciences avec le désir de s’adresser à tous, avec humour parfois… et amour toujours !L’histoire de ce film débute par un élan, celui de la réalisatrice Florence Dottin lorsqu’en 2017, elle suit l’enseignement de Gregory Mutombo dans un cursus intensif de 3 fois 3 jours. Vous disposez déjà d'un compte sur lejdd.fr avec l'email Pour associer votre compte PassMedia avec votre compte JDD en toute sécurité, validez votre email : Critiques (5), citations (2), extraits de Ce que nous sommes de Caroline Bongrand. Et l'enjeu se ­déplace alors vers les femmes. ­Marcel ­Proust s'y asseyait enfant lorsqu'il accompagnait sa mère pour assister à la ­présentation des modèles d'un couturier en vogue à la Belle Époque : ­Ernest ­Raudnitz, l'arrière-grand-père de la ­narratrice. Là-dessus survient, en ­pleine rédaction de ce livre, la mort de sa mère, au ­terme d'une ­longue maladie. Il lui revient alors de ­chercher ce qu'elle peut en ­retirer. Documentaire tourné sur une durée totale de six mois, au cœur des sessions du séminaire intensif « La Symphonie des âmes », conduit par Gregory Mutombo, Processus implacable de dépouillement de la personnalité, ce cursus met chacune et chacun face à ses peurs, croyances, hésitations, contradictions et responsabilités, jusqu’à ce que ne demeure plus qu’une double évidence : nous ne sommes pas ce que nous croyons être et notre identité véritable n’a pas de limites.Ancien parachutiste et officier de la gendarmerie, Gregory Mutombo a sillonné durant près de deux décennies un monde en proie aux guerres, à la terreur et aux plus grandes dissensions, rencontrant l’Humanité dans ses aspects les plus sombresDepuis l’âge de 3 ans, Florence Dottin se plait à raconter des histoires. "La vie de famille n'est décidément par un long fleuve tranquille. On la suit dans sa quête toujours recommencée d'une identité, menée avec d'autant plus d'acharnement qu'elle sent que c'est en l'écrivant qu'elle va gagner une forme d'apaisement. Ce que nous sommes est son premier documentaire. « Nous sommes ce que nous pensons », c’est aussi un peu le credo de la fameuse loi de l’attraction qui est cuisinée à toutes les sauces. Son premier documentaire. Le JDD est un journal hebdomadaire français d'actualité fondé en 1948. Suivez l'actualité politique, internationale et toute l'info société avec le Le jour des obsèques de sa ­maman lui revient l'histoire des deux petites souris tombées "dans une jarre de lait". Là voilà qui assemble les ­pièces d'un gigantesque ­puzzle pour reconstituer plusieurs lignées et nous donner ce "roman" autobiographique intitulé Certaines restent floues, de nombreuses manquent à ­l'appel, mais d'autres brillent encore de tout leur éclat. Et puis une rupture amoureuse l'a fait se décider. C'est un autre volet ­encore, ­passionnant, de ce livre fascinant, riche de multiples ­entrées, dans lequel on chemine toujours avec beaucoup d'aisance et de ­plaisir, tant sa narration ­épurée révèle de personnages ­attachants, romanesques en diable et pour tout dire inoubliables.

­Adolescente, la ­narratrice ­rencontre un mystérieux nonagénaire, ­Maurice ­Blum, qui lui révèle avoir été l'amant de sa grand-mère et surtout le père ­biologique de son ­papa à elle.

Quelques chiffres: Réalisatrice de 56 films courts Scénariste de 22 épisodes de séries télévisées Auteure de 18 spectacles Metteure en scène de 30 productions. 2020 © Le Journal du Dimanche. Coordinatrice des moyens humains - Intendante généraleMarc Alquier : effets spéciaux - Nicolas Bray : génériques - Guillaume Navar : mixage - Mireille Le Floch : scripte - Karine Delrieu : production exécutiveCréatrice mix-media, conceptrice graphique, collaboratrice artistique Dans "Ce que nous sommes", Caroline Bongrand revient sur sa lignée familiale pour comprendre ce que les siens lui ont légué. Elle s'est beaucoup appuyée sur les dires de ce père, né en 1921 et mort en 2014, pour ­recomposer l'histoire des siens. Que je partage ce point de vue à 100% n’est pas très important, en revanche essayer de faire évoluer le vôtre en vous racontant une histoire vraie me paraît tout à fait intéressant. Il s'agit de retracer leurs amours, leurs ­recherches du ­bonheur. Ce récit morcelé d'une enquête jamais achevée se heurte à de ­nombreux écueils. Dans "Ce que nous sommes", Caroline Bongrand revient sur sa lignée familiale pour comprendre ce que les siens lui ont légué.Il est des familles à histoires. Il lui ­colle une ­gifle en lui disant : "Je n'ai qu'un père, ­Jean-Charles ­Bongrand, qui m'a élevé, aimé et que j'ai aimé.