À l’enfant qui me demanderait ce que c’est que la beauté – et ce ne pourrait être qu’un enfant, car cet âge seul a le désir de l’éclair et l’inquiétude de l’essentiel – je répondrais ceci : est beau tout ce qui s’éloigne de nous, après nous avoir frôlés. " La mélancolie, c'est l'état de rêve de l'égoïsme "" O Seigneur, s'il y a un Seigneur ; sauvez mon âme, si j'ai une âme. Patience. du poète Paul Valéry (1871-1945) Contact us Contact Client Service info@christies.com. Estampillé LV et portant l'inscription Patience. Le poème est plus beau si nous devinons qu'il est l'expression d'un désir et non le récit d'un fait. Paul Valéry . Il y a un rythme dans chaque phrase, donc une musique.
Puissance du cinématographe qui s'adresse à deux sens de façon réglable." Chaque atome de silence ; Est la chance d'un fruit mûr ! Chaque atome de silence Est la chance d’un fruit mûr! […] Fronton du Palais de Chaillot (Paris, FR) Il dépend de celui … Continuer la lecture de « VALERY : textes » Utiliser ces impatiences. Publié le 17 mai 2020 Auteur Lelius Catégories Poésie Mots-clés azur, calme, charmes, espérance, palme, patience, Paul Valéry, poème, sagesse Une réflexion sur “« Patience dans l’azur ! Chaque atome de silence est la chance d'un fruit mûr, extrait du poème "Patience dans l'azur!" "Marcel Pagnol ("L'eau des collines" - "Manon des sources")"La mort, dit le poète, tient notre vie par les deux bouts : La vieillesse n’est pas plus proche du trépas que l’enfance". Patience dans l'azur! Chaque atome de silence Est la chance d’un fruit mûr ! Paul Valéry, étendu sur le sable chaud d'une lagune, regarde le ciel. C'est naturel, j'associe toute phrase à un tempo. Il est à l’écoute du temps qui sourdement fait son œuvre.
Chaque syllabe y prend sa place. Le temps d'apprendre à vivre, il est déjà trop tard "" Pareilles à des fleurs étranges, à des fleurs qui nageraient, les ombrelles de soie rouge, verte, bleue ou jaune des barreuses s'épanouissaient à l'arrière des canots. "" Les fous sont aux échecs les plus proches des rois. "" "Christian Bobin ("L’enchantement simple et autres textes" – Poésie-Gallimard)"Elle avait appris dans sa jeunesse, à caresser les phrases, au long col sinueux et démesuré, de Chopin, si libres, si flexibles, si tactiles, qui commencent par chercher et essayer leur place en dehors et bien loin de la direction de leur départ, bien loin du point où on avait pu espérer qu'atteindrait leur attouchement, et qui ne se jouent dans cet écart de fantaisie que pour revenir plus délibérément - d'un retour plus prémédité, avec plus de précision, comme sur un cristal qui résonnerait jusqu'à faire crier - vous frapper au cœur."" Dans son champ de vision, des palmiers se … Vient de paraître sur "De braises et d'ombre" : "Patience dans l'azur" J'étais seul, j'attendais, tout mon cœur attendait.Un jour j'ai lu Valéry. J'ai su que mon attente était finie. Chaque atome de silence Est la chance d'un fruit mûr!" „Patience, patience. Dans son champ de vision, des palmiers se balancent mollement, mûrissant leurs fruits. "Le désir d'originalité est le père de tous les emprunts, de toutes les limitations. Un temps viendra où toi, qui, jeune aujourd'hui, repousses ton amant, vieille et délaissée, tu grelotteras la nuit dans ton lit solitaire. ""
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https://mireille-sorgue.blogspot.com/2014/04/patience-dans-lazur.html La vérification e-mail a échoué, veuillez réessayer C haque atome de silence est la chance d'un fruit mûr!'' VA LERY, Paul (1871-1945) Palme (extr., in Charmes, 1922) Ces jours qui te semblent vides Et perdus pour l’univers Ont des racines avides Qui travaillent les déserts […] Patient, patience, Patience dans l’azur ! »Ile Eniger (in « Bleu miel » Ed. Patience dans l'azur chaque atome de silence est la chance d'un fruit mûr !” ― Paul Valéry "(extrait de "La courbe de tes yeux" in "Capitale de la douleur" 1926) Le cœur le plus sensible à la beauté des fleurs est toujours le premier blessé par les épines.« De mon cœur régulièrement écrasé, reste toujours quelque morceau qui bat. Flâner entre le rêve et le poème… Ouvrir la cage aux arpèges… Se noyer dans un mot… S'évaporer dans les ciels d'un tableau… Prendre plaisir ou parfois en souffrir… Sentir et ressentir… Et puis le dire – S'enivrer de beauté pour se forcer à croire !Entrez votre adresse mail pour suivre ce blog et être notifié par email des nouvelles publications.J’étais seul, j’attendais, tout mon cœur attendait. Paul Valéry, Charmes (1922), Le Cimetière marin "Patience, patience, Patience dans l'azur!
Chaque atome de silence Est la chance d’un fruit mûr ! Paul Valéry, Charmes (1922), Palme, p. 155, éd.