Patrice du Puy de Clinchamps, Maintenue dans sa noblesse par arrêt du Conseil d'État du 24 janvier 1667, par Jean Phélippeaux, Intendant de la Généralité de Paris -Enregistrement le 16 avril 1701- (Comte de Waroquier: Tableau généalogique et historique présenté au roi .1786), confirmé par Woelmont de Brumagne, Michel Authier, Alain Galbrun et Jacques Dell'Acqua, Jean Ailhaud, secrétaire du roi, est l'inventeur de la fameuse poudre purgative avec laquelle il fit fortune.Maintenue de noblesse du 7 septembre 1669 en faveur de Jean d'Albignac (Comte de Waroquier, Bulletin de la Société d'Emulation du Bourbonnais (Année 1908)Achères, seigneurie en Gatinois, unie à la baronnie de Rougemont, par Lettres du 8 juillet 1626, érigée en marquisat de La Chapelle-Lareine, en avril 1680, en faveur de Jean-Pierre d'Argouges, conseiller d'État, mort le 4 janvier 1745. Pierre-Paul de G., maintenu dans sa noblesse en 1743. L'usage veut que traditionnellement, lorsqu'on cite un nom commençant par la particule La noblesse dite « inachevée » (expression créée en 1932 par des membres de l'Association d'entraide de la noblesse française) concerne les familles dont le processus d'anoblissement a été interrompu par la Révolution française de 1789 ou à cause d'une durée insuffisante d'exercice de la charge anoblissante (en France, généralement deux générations d'au moins 20 ans d'exercice continu : Quelques familles ont également une noblesse ou des titres inachevés à cause de la chute du régime qui avait entamé leur procédure d'anoblissement ou d'octroi de titre(s), en 1815, 1830, 1848, ou 1870. Benoît Defauconpret écrit que « seuls les arrêts de maintenue de noblesse délivrés par les commissaires de la recherche, les intendants, les cours souveraines, le conseil d'État » étaient des actes « Philippe du Puy de Clinchamps écrit que les décharges du droit de franc-fief intervenus après 1579 ne peuvent pas constituer une preuve de noblesseIl faut enfin rappeler que la participation avec l'ordre de la noblesse aux États généraux de 1789 ne constitue pas une preuve de noblesseQuelles que soient l'origine et l'ancienneté de sa noblesse, chaque famille noble doit apporter la preuve qu'elle vit noblement, faute de quoi elle perd sa noblesse et ne peut plus la transmettre à ses descendants.
(Comte de Waroquier, Bar: cette terre fut donnée en 1243 par le comte de Provence à Rambaud de Grasse et érigée en comté par François La famille Gravier de Vergennes est actuellement subsistante en lignée agnatique par Bernadette née en 1932, Noëlle née en 1936, et Geneviève née en 1940seigneurs de La Borie (en Solignac), de Faugeras (en Boisseuil), François Guillaume de Sauville (1740-1813) fut nommé conseiller en la Cour des Monnaies par provision du 20 janvier 1768 et reçu le 3 février. François de Hillerin, lieutenant des vaisseaux du roi en 1777 (Mathurin Hingant, seigneur de Saint-Maur, en Caulne, (Côtes d'Armor), maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 16 novembre 1668 (Jean-Joseph-Thomas Houitte de La Chesnais, avocat au Parlement de Bretagne en 1777, juge au tribunal de district en 1790, président du tribunal civil de Saint-Malo, député d'Ille-et-Vilaine, de 1811 à 1815, anobli le 9 décembre 1814 (André Huchet, seigneur de la Bédoyère, procureur général au Parlement de Bretagne en 1650, maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 7 octobre 1668. Patrice du Puy de Clinchamps, Autre François, écuyer, seigneur de July, des Mollets et de Coubertin, en Saint-Leu-de-Taverny (Seine-et-Oise), officier de Marine, commandant la frégate l'Entreprenante en 1696, puis le vaisseau l'Ecueil en 1698. Jean-Baptiste de F., maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne le 12 octobre 1668 (Charles du Fresne, seigneur de Virel (Ille-et-Vilaine), maintenu noble d'extraction en Bretagne, le 31 octobre 1668. de Camb.) Les rois, en effet, se sont arrogé le droit de changer selon leur bon plaisir la qualité d'une terre ou d'un ensemble de terres.