Son bilan est loin d'etre si desastreux. Prenons la Un autre exemple est la Chine : le géant économique asiatique est membre du BRICS et de l'Organisation de coopération de Shanghai (Les politologues, cependant, estiment que cela pourrait constituer une exagération. Puis, comme l’Iran, la Turquie a soutenu le Qatar dans la crise diplomatique de 2016, marquant sa distance avec l’Arabie saoudite. Lors de la guerre Iran-Irak (1980-1988), l’Arabie saoudite finance le régime de Saddam Hussein. Il maintient ainsi ses relations avec la Syrie et le Qatar et ne rejoint pas la coalition saoudienne au Yémen. Le Koweït, dont près d’un tiers de la population est chiite, s’est rangé du côté de l’Irak dans la guerre contre l’Iran (1980-1988). Les rapports se détériorent après le renversement de la monarchie des Pahlavi: les religieux arrivés au pouvoir clament désormais qu’Israël, le Dans les années 1980, l’Iran va tenter de nuire à Israël en soutenant des formations paramilitaires telles que le Hezbollah au Liban ou le Jihad islamique dans la bande de Gaza. En 2015, le président Barack Obama a signé un accord controversé permettant à l'Iran de maintenir son programme nucléaire actif sans sanctions, à condition que le pays adhère à une liste de conditions en cours. Le Soudan se rapproche des pays du Golfe et rejoint C’est l’ennemi héréditaire. Les relations entre l'Iran et les États-Unis sont interrompues depuis la révolution iranienne. Sergueï Karaganov, qui dirige le Conseil de la politique étrangère et de défense, déclare: On peut voir dans l’Inde un autre allié potentiel. De son côté, Israël s’inquiète du programme nucléaire iranien. Lors de la signature de l’accord sur le nucléaire iranien en 2015, Israël est le seul pays à ne pas applaudir.Les Émirats arabes unis (EAU) sont tout proches de l’Iran et lui disputent la souveraineté sur quelques îles du Détroit d’Ormuz.
* La Syrie, en conséquence du point précédent. Par ailleurs, un conflit avec l’Iran aurait des effets terribles sur l’économie émiratie, fondée sur le commerce de ses ports et le tourisme de ses aéroports. Ces conditions fixent des limites aux stocks d'uranium et aux niveaux d'enrichissement, éliminent certaines centrifugeuses et exigent l'expédition du combustible usé vers d'autres pays. Dans la guerre civile yéménite, Arabie et Iran s’affrontent par rebelles interposés: chacun arme et finance son propre camp face à l’autre.En septembre 2019, une attaque vise des installations pétrolières saoudiennes. Au-delà de la rivalité entre Perses et Arabes, et celle de deux grandes puissances sunnite et chiite, l’antagonisme s’est exacerbé après 1979 et la révolution iranienne. La présence militaire est prévue pour durer dans le temps, puisque Téhéran doit également épauler Damas pour nettoyer les champs de mines disséminés dans le pays et reconstruire les installations militaires endommagées par la guerre.Pour l’Iran, l’objectif est de s’implanter durablement en Syrie, où elle doit néanmoins cohabiter avec l’influence russe, aussi bien sur le plan économique que militaire.Ici, l’influence iranienne s’incarne avant tout avec le Hezbollah, parti chiite et groupe paramilitaire dont la création en réaction à l’occupation israélienne du sud-Liban dès 1982 a été parrainée par Téhéran.Depuis, l’Iran soutient financièrement et militairement le Hezbollah. Dans le conflit syrien, Téhéran se rapproche de Moscou et d’Ankara. De fait, de nombreux pays du monde se disent alliés avec Israël, mais les alliances sont de nature diverses. Le royaume jordanien se rapproche ensuite des Occidentaux, ce qui contribue à l’éloigner de Téhéran.Téhéran a rompu ses liens avec Le Caire en 1980 pour protester contre l’accord de paix signé avec Israël.
Pendant la guerre Iran-Irak, l’Égypte soutient Saddam Hussein.
Plus important encore, l'accord stipule que l'Iran … Enfin, la Turquie s’est opposée aux sanctions américaines contre l’Iran suite à la sortie de l’accord sur le nucléaire par Washington.Le Koweït, dont près d’un tiers de la population est chiite, s’est rangé du côté de l’Irak dans la guerre contre l’Iran (1980-1988). La majorité de la population du Bahreïn a la particularité d’être chiite, alors que la dynastie régnante est sunnite.Les relations entre les deux pays se sont dégradées depuis la révolution iranienne. Des milices pro-iraniennes comme le Hachd al-Chaabi, intégré à l’armée régulière, continuent de défendre le régime irakien.
Même le président Vladimir Poutine a cité Alexandre III en répondant à une question sur les alliés de la Russie en 2015, bien qu'il ait rapidement précisé qu'il plaisantait et que la Russie avait en réalité des alliés étrangers. !Beaucoup de gens prennent Trump pour au mieux un idiot, au pire un fou, je trouve au contraire qu'il demontre depuis 3 ans plutot retenue et pour un novice en politique il ne s'en sort pas si mal. Concernant les pays avec lesquels la Russie a des accords de défense mutuelle juridiquement contraignants, ce sont avant tout membres de l’Organisation du Traité de sécurité collective (OTSC), une alliance intergouvernementale créée en 1992 qui regroupe désormais six États post-soviétiques : la Russie, l’Arménie, la Biélorussie, le Kazakhstan, le Kirghizistan et le Tadjikistan.Selon la Charte de l'OTSC, l'un de ses objectifs est « d'ass… En 2004, le roi Adballah II de Jordanie faisait part de son inquiétude face à l’émergence d’un Face à elle, l’Arabie saoudite tente de fédérer les sunnites pour isoler Téhéran.Depuis le début du conflit syrien en 2011, l’Iran est un indéfectible soutien du régime de Damas, dominé par les chiites alaouites (15% de la population), notamment le clan el-Assad.Téhéran a envoyé des conseillers militaires à Damas pour lutter à la fois contre les rebelles s’opposant au régime et les djihadistes menant une guerre civile religieuse. Pendant la guerre de huit ans entre l’Irak et l’Iran (1980-1988), les organisations politiques chiites ont trouvé refuge à Téhéran. Cette information a été confirmée par une source sure proche des décideurs des pays alliés de l’Iran. Alors qu’il clarifiait l'identité des alliés de la Russie en 2018, le porte-parole de Strictement parlant, il s’agit de tous les pays avec lesquels la Russie a conclu des traités d’alignement militaire.